Biomonitoring
BIOBROBIOSOLBMH-WAL BMH-PARC
EXPOPESTENSANISOLBMH-AgriBMH-PFAS
Le biomonitoring, c’est quoi?
Le biomonitoring humain consiste en la mesure de substances (ou de leurs métabolites) dans des fluides ou tissus humains (sang, urine, cordon ombilical, cheveux,…). Il permet d’obtenir une estimation réelle et globale de l’exposition des personnes aux substances chimiques, toutes sources et voies d’exposition confondues. À ce titre, le biomonitoring est particulièrement utile pour le suivi des substances largement distribuées dans l’environnement intérieur et extérieur (eau, air, sol) mais également dans l’alimentation et les produits de la vie quotidienne (matériaux, produits de nettoyage, jouets, etc).
Les données de biomonitoring permettent:
-
-
- de suivre l’évolution au fil du temps de l’exposition de la population aux substances,
- d’identifier les « points chauds » d’exposition liée à la mauvaise qualité de l’environnement,
- de surveiller l’exposition des populations vulnérables du fait de leur âge, de leur santé ou de schémas comportementaux.
-
Depuis 2016, l’ISSeP a mené plusieurs projets incluant une étude de biomonitoring humain :
- BIOBRO: Biomonitoring autour des sites des broyeurs à métaux en Wallonie (2022-2023)
- BIOSOL: Biomonitoring de métaux chez la population wallonne en lien avec la contamination des sols (2020-2023)
- BMH-WAL: Biomonitoring de polluants environnementaux chez la population wallonne (2019-en cours)
- EXPOPESTEN: Biomonitoring de pesticides chez des enfants vivant dans des zones d’expositions aux pesticides contrastées (2016-2018)
- SANISOL : Biomonitoring de métaux chez les bénéficiaires du Coin de terre de Bressoux (CTB) (2018-2020)
- BMH-Agri : Biomonitoring des agriculteurs wallons (2023-en cours)
Consulter la liste des substances étudiées
Cadre et Historique
Recommandations européennes
Dans la Déclaration de Parme en Environnement-Santé de 2010, les États membres de la région de l’OMS-Europe se sont engagés à développer des programmes de biosurveillance humaine comme outils complémentaires aux mesures environnementales pour mieux comprendre et prévenir les effets de la dégradation de l’environnement sur la santé. Le plan d’action européen en environnement-santé 2004-2010 reconnaissait déjà la biomonitoring comme outil de surveillance et appelait au développement d’une méthodologie cohérente en Europe pour garantir la comparabilité des données. Depuis, de nombreux pays européens ont développés des programmes nationaux ou régionaux de biomonitoring.
Dans le cadre de la Stratégie Européenne pour un environnement non-toxique du 7e Programme d’Action Environnemental, le programme HBM4EU (2017-2021) a pour objectif d’harmoniser et d’augmenter la qualité des études de biomonitoring humain menées en Europe de manière à ce que leurs résultats puissent supporter les décisions politiques en matière de réduction de l’exposition des citoyens aux substances chimiques et des effets sur la santé.
En Wallonie
En Wallonie, plusieurs programmes de biomonitoring ont été menés depuis 2005. Jusqu’en 2013, les études ont concerné des situations locales relatives à des populations exposées aux métaux présents dans le sol. En 2013, l’UCL publiait des résultats de valeurs de référence belges pour les métaux dans l’urine d’adultes. En 2017, le CHU de Liège publiait les résultats d’un biomonitoring concernant l’exposition aux perturbateurs endocriniens (PE) pour un échantillon d’environ 200 (jeunes) adultes. En 2018, le projet EXPOPESTEN délivrait également des résultats d’imprégnation en pesticides pour 250 enfants de 9 à 12 ans provenant de 5 localités wallonnes.
Chacune de ces études fournit des indications pour l’orientation des politiques. Par exemple, le projet EXPOPESTEN indique une contamination des enfants aux insecticides dont certains ont un effet sur les inhibiteurs du cholinestérase et d’autres sont des perturbateurs endocriniens. Ceci indique la nécessité d’identifier correctement les sources d’exposition en ville comme à la campagne comme de mettre en place des mesures de gestion visant à réduire l’exposition des enfants. Enfin, l’étude recommande d’instaurer une surveillance de ces composés dans l’environnement et la population pour s’assurer que les mesures de réduction sont bien efficaces. Ces données indiquent aussi qu’il est nécessaire de rechercher ces paramètres au niveau des populations les plus exposées et qu’il est indispensable de soutenir la recherche sur la toxicocinétique des pesticides dans le corps.
Les 3 projets cités ci-dessus fournissent des données de référence incomplètes, ne concernant qu’une partie de la population. La consolidation de ces données pour l’ensemble de la population était donc nécessaire et celle-ci a démarré en 2019 grâce à la mise en place d’un consortium scientifique et du lancement de la première phase du programme de biomonitoring wallon. Ce projet baptisé BMH-WAL rassemble l’ISSeP, le Service de Toxicologie clinique du CHU-Liège et le Louvain Center for Toxicology and Applied Pharmacology de l’UCLouvain, les Cliniques Universitaires Saint-Luc et Sciensano. L’objectif de cette étude est de déterminer les niveaux d’imprégnation de la population wallonne aux diverses substances chimiques présentes dans l’environnement.
Protection des données
Pour garantir la confidentialité des données dans le cadre des études de biomonitoring, l’ISSeP s’engage à pseudonymiser toutes les données collectées, tant celles liées aux résultats des biomarqueurs que celles issues du questionnaire. Pour ce faire, un code unique et aléatoire (impossible à décoder) constitué de chiffres et de lettres sera attribué à chaque volontaire.
Seuls les responsables du projet ont connaissance et accès aux informations d’identification, indispensables pour assurer la restitution des résultats (si les participants en font la demande). Ces informations confidentielles et sensibles sont enregistrées dans un fichier spécifique, accessible via une clé de protection (le code permettant de déverrouiller la clé sera entreposé à un endroit différent du fichier sensible), et sauvegardée dans un dossier sécurisé du réseau de l’ISSeP.
Le DPO (Data Protection Officer), la personne responsable du RGPD à l’ISSeP, a également accès à la localisation du fichier et de la clé de protection pour éviter d’éventuelles pertes de données en cas de départ du ou des responsables de l’étude à l’ISSeP.
Consortium BMH-Wal
Institut Scientifique de Service Public (ISSeP)
Si l’ISSeP surveille la qualité des milieux depuis de nombreuses années, l’évaluation des risques sanitaires liés aux polluants chimiques et aux nuisances physiques dans les milieux de vie étudiés par la Cellule Environnement-Santé est plus récente.
L’ISSeP fournit un appui méthodologique à l’administration pour l’évaluation des risques des sols potentiellement contaminés et dans les études d’impacts. Sa cellule Environnement-Santé contribue à la mise en place d’un système d’information géographique en environnement-santé destiné à identifier les zones de vigilance environnementales et sanitaires.
Service hospitalo-universitaire de Toxicologie clinique, médico-légale, de l’environnement et en entreprise du CHU-Liège
Investi dans la recherche et la formation en matière de risques toxicologiques de l’environnement, ce service a développé et validé l’analyse de biomarqueurs relatifs à l’exposition de la population à différentes substances toxiques présentes dans l’environnement. Les résultats de ces analyses permettent au Service de Toxicologie d’évaluer l’impact de l’exposition aux polluants sur la santé humaine.
Cliniques universitaires Saint-Luc, UCLouvain, Bruxelles
Le Laboratoire de Biochimie Analytique est actif dans le domaine de la toxicologie industrielle et environnementale. Il est co-dirigé par le Pr. V.Haufroid
Louvain Center for Toxicology and Applied Pharmacology (LTAP) – UCLouvain
Créé en 2009 pour étudier les effets des substances chimiques sur la santé de l’Homme, le LTAP mène des recherches qui s’adressent tant aux effets bénéfiques des médicaments (pharmacologie appliquée) que délétères des polluants (toxicologie).
Le centre a notamment publié des valeurs de référence pour 26 éléments traces dans l’urine de la population adulte vivant en Belgique (Hoet, 2013 et 2020).
Sciensano
La surveillance de la présence d’oligoéléments dans la chaîne alimentaire et dans l’environnement, et l’évaluation de leur impact sous-jacent sur la santé humaine sont au cœur de l’expertise de cette unité. Laboratoire accrédité ISO 17025 pour la détermination d’éléments traces dans diverses matrices, cette unité est au centre d’une multitude de recherches scientifiques en la matière.
Équipes
Coordination
Suzanne REMY – ISSeP 200, rue du Chéra – 4000 Liège
Consortium – Équipe projet
- ISSeP : Ingrid RUTHY, Aline JACQUES et Suzanne REMY
- CHU-Liège : Catherine PIRARD et Corinne CHARLIER
- UCL : Vincent HAUFROID et Perrine HOÊT
- SCIENSANO : Heidi DEMAEGDT, Karlin CHEYNS et Ann RUTTENS
Comité scientifique
- Un représentant du cabinet du Ministre de l’Environnement ;
- Un représentant du cabinet du Ministre de la Santé ;
- Des représentants de la DGO3 (CPES, Direction de l’État environnemental) ;
- Des représentants de l’ AViQ;
- Un représentant de l’ IWEPS;
- Un représentant des Observatoires de la Santé et de Hainaut Vigilance Sanitaire (HVS);
- Un représentant du Vlaamse Instelling voor Technologisch Onderzoek (VITO) ;
- Un représentant de l’Université Libre de Bruxelles (ULB) ;
- Des représentants de l’Institut Scientifique de Service Public (ISSeP), du CHU-Liège et de l’Université catholique de Louvain (UCL)
Comité d’accompagnement
- Un représentant du cabinet du Ministre de l’Environnement ;
- Un représentant du cabinet du Ministre de la Santé ;
- Des représentants de la DGO3 (CPES, Direction de l’État environnemental) ;
- Des représentants de l’AViQ;
- Des représentants de l’Institut Scientifique de Service Public (ISSeP), du CHU-Liège et de l’Université catholique de Louvain (UCL)
Le biomonitoring humain est une technique qui permet de mesurer l’exposition humaine aux substances et polluants présents dans nos milieux de vie via leur dosage dans l’urine, le sang, les cheveux, la salive, etc. Les résultats du Biomonitoring Humain renseignent sur la quantité d’un polluant environnemental réellement présent dans le corps. La présence de polluants dans le corps n’entraîne pas nécessairement d’effets néfastes sur la santé. Les résultats nous permettent plutôt d’identifier comment et dans quelle mesure les populations sont exposées.
Les études sur le Biomonitoring Humain permettent également de prouver la nécessité de mesures politiques et d’évaluer l’effet de ces dernières et des mesures mises en oeuvre afin de réduire les niveaux de pollution environnementale. À titre d’exemple, on peut noter l’introduction de l’essence sans plomb après que la communauté scientifique ait pu mettre en évidence les effets néfastes du plomb sur le développement du système nerveux. Les études ultérieures ont permis de mesurer la réduction considérable de la concentration en plomb dans le sang parmi les populations suite à cette mesure.
Pourquoi mener une campagne de biomonitoring humain?
Parce que certaines substances et polluants sont connus ou suspectés pour avoir un impact sur notre santé. Le biomonitoring va nous permettre de savoir si on les retrouve dans notre corps et en quelle quantité. Ces résultats indiqueront aux gestionnaires de l’environnement et de la santé si les mesures de réduction ou d’interdiction de certaines substances sont efficaces ou s’il faut poursuivre les efforts pour améliorer la qualité de notre environnement et ainsi de notre santé.
Est-ce que je peux me porter volontaire pour participer à l’étude?
Pas directement. En fonction des projets nous avons besoin de constituer des échantillons représentatifs de la population wallonne (catégories d’âges, lieu de résidence…). L’ISSeP va contacter des personnes pour leur proposer de participer. Si vous êtes contacté, que vous répondez aux critères et que vous êtes partant, vous devrez nous faire parvenir votre accord de participation. L’ISSeP vous recontactera alors pour vous dire quand les prélèvements seront programmés et vous soumettre un questionnaire. Il vous sera demandé de confirmer votre volonté de participer et de nous fournir votre consentement à ce moment-là en double exemplaire (un pour vous et un pour nous).
Qu’adviendra-t-il de mes échantillons, données et résultats ?
Vos échantillons et vos données ne seront utilisées que d’après votre consentement éclairé et d’une manière qui protège votre vie privée selon la réglementation européenne RGPD et les exigences nationales. Les résultats publiés de l’étude ne vous identifieront d’aucune manière.
Un code unique et aléatoire (impossible à décoder) constitué de chiffres et de lettres sera attribué à chaque volontaire. Ce code supprimera alors toutes les informations personnelles identifiables afin de protéger votre vie privée et empêchera le suivi de vos données. Seuls les responsables du projet auront connaissance et accès aux informations d’identification, indispensables pour assurer la restitution vos résultats (si vous en avez marqué le souhait).
Vos échantillons codés de sang et d’urine seront transférés vers des laboratoires spécialisés pour être analysés. Ils y seront examinés pour mesurer votre exposition aux substances chimiques. Vos échantillons seront ensuite stockés par l’ISSeP et les laboratoires dans une biobanque pour une durée de 20 ans pour une utilisation éventuelle dans des futures études éthiquement approuvées d’exposition aux produits chimiques. Des données codées recueillies auprès de vous et des autres participants seront stockés et utilisés à des fins de recherche et seront peut-être combinées avec d’autres données provenant de différentes sources. Le partage des données sera facilité par le biais d’infrastructures de données et/ou des systèmes d’information dédiés.
Les résultats globaux de l’étude seront communiqués aux autorités régionales, nationales et européennes afin de soutenir les actions politiques liées à la gestion des produits chimiques pour la protection de la santé publique. Ils seront également diffusés auprès d’autres intervenants, y compris le grand public, les scientifiques et d’autres parties intéressées.
Comment le respect de ma vie privée est-il garanti ?
Votre vie privée est protégée en respectant les exigences du règlement européen général sur la protection des données et la législation en vigueur en Belgique. Les responsables du projet sont garants de la protection de vos données contre une perte, un accès/une utilisation non autorisé, un modification/divulgation ou contre toute autre utilisation abusive. Le contrôleur des données est l’équipe du projet.
Tous les traitements de données seront effectués de manière ce qu’il ne soit plus possible de vous attribuer vos données sans utiliser d’informations complémentaires. Votre nom sera remplacé par un code. L’ISSeP s’engage à pseudonymiser les données collectées. Les informations qui vous identifient (nom, coordonnées) seront conservées séparément et sous mesures de protection. Tous les enregistrements électroniques et papier seront protégés contre tout accès non autorisé à vos informations privées. Les rapports publiés de l’étude ne contiendront aucune information pouvant vous identifier. Les tiers n’auront pas accès à vos résultats personnels, à moins que vous n’y consentiez.
Pourquoi avez-vous besoin de mon consentement écrit ?
Votre consentement écrit confirme que vous vous portez volontaire pour participer à l’étude après avoir compris ce qui vous est demandé et quels sont vos droits. Vous avez le droit de retirer votre participation à tout moment sans aucune conséquence (y compris les données ou échantillons déjà fournis, s’ils n’ont pas été complètement anonymisés et donc impossible à retrouver), et le droit de choisir si vous souhaitez recevoir vos résultats individuels ou pas. Vous confirmerez également que nous pourrons vous contacter ultérieurement pour vous informer de vos résultats personnels ou à des fins historiques, statistiques ou scientifiques.
Y a-t-il des risques si je participe à l’étude ?
Certains participants peuvent ressentir une gêne mineure lors de la collecte d’échantillon de sang. Tous les prélèvements seront effectués par des professionnels de la santé qualifiés et spécialement formés. Les participants de l’étude seront couverts par une assurance pour tout évènement indésirable relatif à leur participation, sans frais à leur charge.
Le risque résultant de cette expérimentation est couvert conformément à l’article 29 de la loi belge du 7 mai 2004 relative aux expérimentations sur la personne humaine qui impose au promoteur d’assumer, même sans faute, la responsabilité du dommage causé au participant ou à ses ayants droit, dommage lié de manière directe ou indirecte à l’expérimentation. Le promoteur a contracté une assurance couvrant cette responsabilité.
Y a-t-il des coûts pour moi ?
Cela ne vous coûte rien ! Nous n’avons besoin que de votre temps et de votre volonté à participer à cette étude scientifique, à consentir aux prélèvements et à répondre à un questionnaire.
Que se passe-t-il si j’ai des préoccupations ou des plaintes pendant que je participe à l’étude ?
Votre bien-être est notre priorité absolue et nous prendrons toutes les précautions nécessaires pour assurer votre confort et votre sécurité. Si vous avez des inquiétudes lors de votre rendez-vous, veuillez en discuter avec notre équipe de recherche ou à tout moment en contactant l’un des responsables, par mail, par téléphone. Vous avez le droit de vous désinscrire de l’étude à tout moment et quel que soit le motif (sans qu’il soit nécessaire de le divulguer).
Dans le cas peu probable où vous voudriez porter plainte au sujet de l’étude, vous pouvez le faire en contactant le DPO (Data Protection Officer, responsable du RGPD à l’ISSeP), Michel Jacobs, dpo@issep.be , qui n’a pas de lien formel avec l’étude et qui agit en tant que surveillant indépendant de cette étude.
Comment puis-je quitter l’étude ?
Vous êtes libre de vous retirer de l’étude à tout moment, sans aucune conséquence en envoyant un courrier électronique à biomonitoring@issep.be ou en téléphonant aux responsables de l’étude. Nous vous demanderons de confirmer vos souhaits en signant le formulaire de rétractation. Sur ce formulaire, vous pouvez indiquer l’une des options suivantes :
- « Aucun autre contact mais mes échantillons et données peuvent être utilisés ».
Nous ne vous contacterons plus mais vous nous donnez la permission de conserver et d’utiliser les informations et les échantillons déjà fournis.
- « Aucun autre contact et mes échantillons et données ne peuvent pas être utilisés ».
Nous ne vous recontacterons plus et nous détruirons vos échantillons et vos données, à moins qu’ils ne soient complètement anonymisés et que nous ne puissions pas les retrouver. Pour l’intégrité de l’étude et dans l’intérêt de la santé publique, nous conserverons vos données codées dans les analyses déjà effectuées. Nous conserverons vos formulaires de consentement et de rétractation signés afin d’enregistrer vos souhaits et à des fins d’audit. Vous pouvez nous demander une copie de ces formulaires en utilisant les coordonnées fournies ci-dessous.
Qui dois-je contacter si je ne suis pas sûr de quelque chose ou si je souhaite davantage d’informations ?
Pour de plus amples informations avant, pendant ou après l’étude, vous pouvez nous contacter ISSeP, Cellule Environnement-Santé, 200 Rue du Chéra, 4000 Liège – 04 229 83 11
Email: biomonitoring@issep.be – Web: www.issep.be/biomonitoring
17 juin 2020, La DH, Projet de biosurveillance cherche volontaires !
18 janvier 2020, la DH, Première campagne de biosurveillance humaine : la santé et l’environnement passés au crible
18 janvier 2020, SudPresse, À quel point les Wallons sont-ils pollués?
18 janvier 2020, l’Avenir, Le sang des Wallons à la loupe: la biosurveillance humaine s’invite chez nous
18 janvier 2020, La Libre, Pesticides, métaux lourds… : la santé et l’environnement des Wallons passés au crible
17 janvier 2020, JT LN24, Vigilance pour la santé en Wallonie
17 janvier (et 18 janvier), Le Soir, La santé des Wallons sous étroite surveillance
17 janvier, RTL Info 18h, Patrick Maggi invité en direct par Thomas de Bergeyck
17 janvier 2020, JT 13h RTBF, Santé : 900 personnes sous biosurveillance
17 janvier 2020, RTL, 900 Wallons vont faire analyser leur sang et leur urine: “Un tel bilan n’a jamais été fait”, mais à quoi servira-t-il ?
17 janvier 2020 – RTBF Radio Soir Première (reportage à 34:17)
17 janvier 2020 – Bel RTL RTL Info 18h (reportage à 07:1)
17 janvier, LN24 soir, Bénédicte Heindrichs invitée en plateau par Michaël Denutte
17 janvier 2020, JT 19h RTBF, Lancement de la première campagne de bio-surveillance humaine avec 900 volontaires
17 janvier 2020, Matin Première -radio RTBF; (à 07:38 et 49:18) Santé: l’ISSeP lance la première campagne de biosurveillance en Wallonie
17 janvier 2020, RTBF, Quelles sont les substances dangereuses que les Wallons absorbent?
17 janvier 2020, Portail Wallonie, Substances chimiques : quelle influence sur l’organisme des ménages wallons ?
17 janvier 2020, RTC, Quelles substances chimiques dans le corps des Wallons ?
17 janvier 2020, Bel RTL, 900 volontaires pour mesurer notre exposition aux produits chimiques (à 04:25)
- Communiqué de presse du Cabinet Di Antonio
- L’exposition des Wallons aux perturbateurs endocriniens va être mesurée, Le Soir, 18 mai 2018
- Un million d’euros dégagés au budget wallon pour mesurer l’exposition des Wallons aux perturbateurs endocriniens, Sudpresse, 18 mai 2018
Janvier-février 2021, article dans le JDE, Journal Des Enfants.
Pour de plus amples informations avant, pendant ou après l’étude, vous pouvez nous contacter :
ISSeP – 200, Rue du Chéra – 4000 Liège
Équipe Projet
Ingrid Ruthy, Aline Jacques
Tél : 04 229 83 83
Email : biomonitoring@issep.be
Web : www.issep.be/biomonitoring